Wild Woman d’Inger Woest

inger woestLa fondatrice de Guit-Art Libre présente son premier album. Au total, quatorze chansons originales dont deux interprétées en français.

Par Corinne Bénichou

Du folk à son meilleur, depuis les grandes années Simon & Garfunkel, pour un opus dans lequel l’artiste ouvre son journal intime en paroles et en musique.

Pour sa sœur qui vit au Japon, Close Your Eyes. Une pièce de monnaie, une fontaine ou un puit et voilà Wishing Well. Une blessure d’enfance, qui ne cicatrise pas, donne ce cri du cœur Quand elle est partie.

De Jonnhy (1994) à Spiral Time (2011) en passant par Wild Woman, titre fard, seule pièce rock and roll, qui convient bien au thème évoqué, sans oublier l’instrumental By the River (2003) la jeune femme a pris le temps de peaufiner, avec Christian Morisset et Alexandre Valade, ses compositions et son écriture pour offrir un résultat très agréable à l’oreille.

À découvrir.

www.ingerwoest.com

PRODUCTION ET DISTRIBUTION INDÉPENDANTES

Ce contenu a été publié dans Musique, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.