Drummondville, une cité verte où il fait bon vivre.

La municipalité rassemble une communauté dynamique et accueillante. Ses attraits, qu’ils soient à l’intérieur ou l’extérieur, sportifs, culturels, de plaisance ou d’affaires sont aussi intéressants que diversifiés. C’est non seulement le berceau natal de la poutine mais c’est aussi celui de plusieurs personnalités telles que Louis Morissette, Karine Vanasse, Les Trois Accords, Kaïn, Renée Martel, Daniel Lemire, Georges Dor, entre autres. Ses rues commerçantes, restaurants, bars et boutiques se côtoient de belle façon, animent fièrement le centre-ville.

Par Corinne Bénichou

Le club de golf, lui, étend ses allées sur une partie de ce qui fut à l’origine le domaine privé du fondateur de Drummondville, Frederick George Heriot, de 1815 à 1843. Situé légèrement au nord du centre-ville. long de six kilomètres avec un parcours de dix-huit trous, il n’accueille pas que des golfeurs. En effet, des outardes y ont élu domicile. Elles sont, chaque matin, chassées par Sandy, la chienne du surintendant, mais les volatiles, dès que la gardienne est partie, reviennent s’installer tranquillement sur le green. Le terrain, qui a près de cent ans, est principalement reconnu pour la beauté de sa conception et la qualité de son gazon. De sa terrasse, la vue sur la rivière Saint-François est charmante. Julie Verreault, conseillère au développement touristique ajoute « Un autre fait inusité est le cimetière de la famille Watts-Sheppard en plein milieu du parcours. En fait, il n’y a qu’une une seule pierre tombale pour les sept membres qui sont dans ce caveau. »

https://golfdrummond.com

Le musée de la photographie est la seule institution du genre au Canada. Vous y trouverez l’un des huit exemplaires de la chambre daguerrienne de 1845, premier modèle d’appareil photo commercialisé dans le monde. Le procédé vient de l’invention de monsieur Daguerre, peintre et photographe français. Inspiré des travaux de Joseph Nicéphore Niépce, il a été, pendant un temps, considéré comme l’inventeur de la photographie. Un incontournable de Drummondville ! En compagnie d’un guide, découvrez une véritable caverne d’Ali Baba avec plus de trente-cinq mille appareils, d’hier à aujourd’hui, du plus gros à la montre de 007  et encore plus de photos provenant des archives des plus grands photographes du Québec et d’ailleurs. L’établissement est également le théâtre de grandes expositions itinérantes. Au fil des années, le musée a présenté les expositions de plusieurs personnalités telles que Bryan Adams, Jean-René Dufort, Sophie Thibault, Linda McCartney (sur les Beatles) et Bertrand Godin pour ne nommer que ceux-là.

« Jusqu’au 29 août, l’exposition temporaire est complètement animal. »

Jacques-André Dupont, présente Libres et Sauvages, portraits animaliers d’Amérique et d’Afrique, une quarantaine d’œuvres grands formats captées lors de ses rencontres avec la faune. Du fou de Bassan, au léopard furtif, vous découvrirez l’humanité derrière le regard perçant de ces animaux immortalisés par sa caméra.

Intitulée Solstice, l’exposition de Jean-Simon Bégin présente deux douzaines d’œuvres soit douze pour l’été, douze pour l’hiver. Des clichés provenant du Québec avec une signature unique et propre à l’artiste. Pour ce professionnel, la visite se compare à celle d’un musée. « C’est important de faire comme si on entrait dans un musée. On ne touche pas aux œuvres, on ne fait pas de bruit, on est en état de contemplation. C’est le même principe en nature. » a-t-il décrit.

Finalement, l’exposition de Jérémie Leblond Fontaine, nommée Vulpes propose une immersion dans l’univers des renards du Canada et principalement ceux du Québec. « Le renard roux est l’animal qui m’a procuré mes moments les plus forts en photographie animalière. Cette exposition se veut un hommage à mes amis rouquins qui ont croisé mon chemin au fil des années. » a commenté le photographe.

https://museenationaldelaphotographie.com

Perchée sur le toit de l’édifice Saint-Frédéric, la terrasse Diversimmo est ouverte au public en formule 5 à 7, les jeudis et vendredis de l’été. Il est également possible de la louer pour des soirées privés. Avec une capacité de deux-cent quatre-vingt personnes, plusieurs types d’événements sont réalisables : Soirées corporatives, mariages, conférences de presse, anniversaires, spectacles…

www.diversimmo.ca

Depuis 1958, la ferme des Voltigeurs est LA référence en matière de poulet. Le plaisir de bien manger, c’est aussi le plaisir d’agencer les meilleures saveurs et de réussir la cuisson parfaite. Consultez les recettes, les trucs et les astuces afin de mettre le poulet du Québec à l’honneur ! « Il y a quatre boutiques, dont deux à la sortie 181 et la ferme. Pour moi, c’est le meilleur poulet au monde ! Mon bouillon, je le prépare avec des carcasses que je mets au four, je les fais rôtir avant de les plonger dans l’eau, ce qui leur donne un goût particulier et une couleur caramel bien invitante. »

www.fermedesvoltigeurs.com

Le beau camping urbain des Voltigeurs, installé dans la région depuis 1967, est l’endroit propice à la quiétude, entre ville et nature. Au bord de la rivière Saint-François, à deux pas du village québécois d’antan, il est traversé par la promenade Rivia, qui peut vous conduire aux quatre coins de la cité. Ses arbres matures, sa piscine fraîchement rénovée et ses nombreuses activités vous feront vivre de beaux moments avec vos proches.

www.sepaq.com

Le domaine Trent est un bâtiment patrimonial classé depuis 1964. Ce monument historique est l’œuvre de George Norris Trent, officier de la marine anglaise. Ancienne résidence construite entre 1838 et 1848, située au parc des Voltigeurs. Des tables à pique-nique sont à proximité pour y faire une pause lors de votre promenade.

www.drummondville.ca

Le restaurant mythique de Drummondville, Le Roy Jucep, endroit culte, pour y manger… la poutine !!! Drummondville étant le berceau de la poutine à un tel point qu’il y a même un festival qui porte son nom. Il attire chaque année un grand nombre d’amateurs de musique et … de poutine ! « C’est la chicane de clochers depuis des années, mais aujourd’hui tout s’arrête ! En 1957, à Warwick, un client du restaurant Le Lutin qui rit (qui n’existe plus) a amené un sac de fromage à monsieur Lachance, propriétaire, en lui demandant de le mettre sur ses frites, sans sauce. À Drummondville, en 1964, monsieur Jean-Paul Roy, saucier de son métier, a mis les trois ingrédients ensemble. Conclusion, qui doit-on croire, le Lutin ou le Roy ? D’ailleurs l’attestation du gouvernement du Canada est là pour le prouver. Le sujet est donc clos. »

www.jucep.com

Cette année, le Festival de la Poutine aura lieu les 2,3 et 4 septembre prochains. L’événement recevra Fouki, Marie Mai, Marjo, Bleu Jeans Bleu et bien d’autres… Simon Proulx, le chanteur des Trois Accords en est le directeur général.

www.festivaldelapoutine.com

La Maison des Arts propose du théâtre d’été, ses différentes salles sont parfaites pour tenir des événements, des répétions de danse et autres activités culturelles. La galerie d’art et la terrasse verte sur le toit sont des atouts non négligeables. Tout y est prévu pour passer une bonne journée ou une bonne soirée. « L’orchestre symphonique y réalise ses prestations. Sa salle principale contient neuf cent soixante-douze places et pour des concerts intimes, il y en a une autre de cent cinquante-six sièges. » Son sous-sol concentre un impressionnant costumier qui a servi jusqu’en 2017 au Mondial des cultures. Les habits sont encore disponibles pour des demandes spéciales. « Il ne faut pas oublier les trois superbes pianos qui ont un son très particulier. Plusieurs d’artistes ont refusé de jouer sur ces fameux pianos dont Grégory Charles, car la particularité de ces instruments est qu’ils possèdent quatre pédales au lieu de deux habituellement. »

www.artsdrummondville.com

Intrépides et amateurs de sensations, D’arbre en arbre, réunit plusieurs circuits d’aventure aériens. Tyrolienne, pont de singe, saut de Tarzan ainsi qu’un itinéraire d’hébertisme au sol, quatre-vingt dix jeux au total , avec des arbres centenaires, il y en a pour tous les goûts ! Plus vous avancez dans les parcours, plus le niveau de difficulté augmente et, parallèlement, plus vous vivrez des émotions fortes ! Les principaux exercices dans les arbres s’adressent aux douze ans et plus. Plusieurs activités, dont Escalabre et les sentiers d’entraînement au sol, s’adressent aux sept ans et plus. En hiver, une glissade impressionnante fait la joie des citoyens. Ce club de loisir vaut le détour !

www.reseauxpleinair.com

La ferme Pegasus, en hommage au cheval ailé Pégase et son père Poséidon, est située à Ulverton. Le couple offre aux visiteurs du camping, un centre équestre et de la massothérapie. C’est la réalisation d’un rêve pour les propriétaires installés depuis 1996 dont le but est de partager leurs passions et de transmettre le goût du rapprochement avec les animaux en liberté et la nature. Un secret très bien gardé !

Suzanne Serhan, originaire de Montréal, est une passionnée de la randonnée à cheval. Elle se fera un plaisir de vous faire découvrir son village d’adoption à dos de cheval dans un décor qui peut rappeler tantôt la Toscane, tantôt l’Écosse. Les randonnées se font dans un cadre sécuritaire et personnalisé. Il y a plusieurs forfaits à la carte selon les besoins, il suffit de s’informer.

Suzanne est aussi massothérapeute en spa et en kinésithérapie depuis 2006. Exfoliation, enveloppements, réflexologie, paraffine mains et pieds à venir. Réservation obligatoire pour les massages sur table. Depuis peu, elle offre des séances de yoga.

Venez rêver en harmonie avec cette belle nature. Pour un court ou un long séjour, vous pourrez faire du kayak, de la marche, de la pêche et de l’équitation. Plusieurs attraits touristiques locaux sont à découvrir. Le bon endroit pour se ressourcer !

www.fermepegasus.com

Non loin de là, sur le chemin Porter, se trouve le dernier moulin à laine de la région, connu sous le nom de Moulin Blanchette. Du plaisir pour tous avec son site naturel, ses visites guidées, sa boutique et ses brunchs du dimanche matin. Il est aménagé en 1849 par William Read Dunkerley, dans un moulin à scier et à carder déjà existant, au moment où l’industrie de la laine est en plein essor dans les Cantons-de-l’Est. Le site est sillonné par un réseau de cinq kilomètres de sentiers parcourant la forêt et longeant la rivière Ulverton. Ces sentiers vous mèneront à travers une flore et une faune diversifiées. Un agréable moment en famille vous attend. « C’est un centre d’interprétation sur la production et le traitement de la laine. Vous pouvez voir la transformation de cette matière avec les machines d’époque. » La boutique offre toutes sortes de souvenirs fait main : Coussins, toutous, poupées, objets, oreillers et bien sûr de la laine parce que le tricot est de nouveau à la mode.

C’est un havre de paix pour quelques pensionnaires, les moutons, que vous pourrez câliner durant la saison estivale. Le lieu comporte une aire de pique-nique offrant tables et abris. Permettez-vous de flâner et de vous laisser happer par la nature. Apportez votre canne à pêche et à vos hameçons ! Par un après-midi chaud et ensoleillé, venez lire et vous détendre sur la terrasse . Vos jambes n’y résisteront pas, entrez dans la forêt en suivant la rivière Noire jusqu’au belvédère et les cascades.

Juste à côté, le pont couvert construit en 1992, incendié par une main criminelle peu de temps après son inauguration et reconstruit en 1994, porte depuis 2011 le nom Paul-Émile Giguère. Sa longueur est de cinquante-cinq pieds et sa largeur de vingt-deux pieds. Il vous offre une vue splendide sur le moulin et la rivière.

www.moulin.ca

Impossible de quitter Ulverton sans s’arrêter au vignoble Les Vallons de Wadleigh. La raison d’être des propriétaires est simple, offrir des vins de leur terroir, soigneusement élaborés reflets de leur passion pour la qualité. C’est en 2008 que Michel Dagenais et Brian Illick décident de se lancer dans cet ambitieux projet de vignoble. Implanté sur les terres ancestrales de la famille Wadleigh (1885), le sol y est composé principalement de sable loameux, offrant un bon drainage et une accumulation de chaleur en été. « En quelques années nous avons planté plus de seize mille plants, cultivars rustiques pouvant résister aux froids hivers. À l’aide des conseils avisés de notre agronome, nos opérations aux champs sont faites à minimiser l’impact sur les sols et préserver cette belle terre pour nos enfants. Avec la même philosophie, les récoltes sont effectuées à la main, avec amour et dirigés au chai sous la supervision de notre œnologue Jean-Paul Martin. Après toutes ces années de travail intensif, nous sommes fiers de vous inviter à nous rencontrer, à venir déguster nos produits élaborés avec grand soin.» confirment Michel Dagenais et Brian Illick.

Dans un environnement bucolique enchanteur, l’activité appelée Vindredis vous concocte sur la terrasse des soirées festives où les deux vins blancs, le rosé, le rouge et la nouveauté orangée ainsi qu’une liqueur de cassis sont à l’honneur et vous invitent à la dégustation.

www.lesvallonsdewadleigh.com

De retour vers Drummondville, en bordure de l’autoroute 20, le Rose café vous accueille avec ses produits régionaux et sa serre pour les déguster tranquillement dans un cadre zen. La petite histoire de ce fleuriste et producteur québécois a commencé en 1996. L’aventure Rose Drummond a commencé avec la vente de ses fleurs. En 2011, il développe la culture maraîchère et créé le Rose café. Pénétrez dans la caverne d’Ali Baba des produits du terroir. Vous y découvrirez plusieurs items de la région et d’ailleurs au Québec.

www.rosecafe.ca
www.rose.ca

La promenade Rivia est le lien privilégié pour se rendre au centre-ville. En se baladant à pied, à vélo ou en patins à roues alignées, tout est fait pour se dégourdir les jambes. Sa particularité, c’est sa longueur et sa position stratégique. Les Drummondvillois comme les citoyens de l’extérieur peuvent s’y promener seuls, en famille ou entre amis et profiter d’un accès à la rive de la Saint-François. Il est possible d’y pratiquer la marche, la course à pied ou la bicyclette, sur deux kilomètres cinq cent dans un cadre esthétique, accueillant et sécuritaire. En reliant le parc des Voltigeurs au cœur du centre-ville par le pont de la Traverse ou le pont du Curé-Marchand, cette promenade devient un incontournable pour découvrir la ville sous un autre angle.

Accessible à l’année, cette infrastructure inclusive donne accès à la nature et incite aux saines habitudes de vie. Vu sa popularité, elle a été prolongée sur près de deux kilomètres dans le parc des Voltigeurs. Ce prolongement consolidera le corridor récréotouristique de la ville et améliorera la connexion cyclo-pédestre entre le centre-ville et le cœur du parc.

www.drummondville.ca

Créé en 1977, le Village Québécois d’Antan est véritable expérience culturelle. Avec ses personnages, ses attractions et ses bâtisses, c’est bien plus qu’une visite historique, c’est une expérience à vivre et à revivre toute l’année. Découvrez un village qui se réinvente au fil des saisons ! Les dizaines de bâtiments d’époque et l’éventail de personnages colorés invitent les visiteurs à entrer dans leur univers, Une expérience divertissante à souhait, une immersion totale dans le Québec francophone des dix-neuvième et vingtième siècles. Que vous soyez un parent à la recherche d’activités attrayantes pour les enfants, un passionné d’histoire ou un amateur de promenades au cœur de décors exceptionnels, chacun y trouvera son compte ! Une belle activité pour des vacances en famille. « Vous y rencontrerez le quêteux, il vous accueillera à l’entrée, des courtisanes, la commère et monsieur le curé parmi bien d’autres… Vous pouvez y passer une journée complète et visiter le restaurant, la boulangerie, l’église, le barbier, la beignerie avec ses beignes chauds trempé dans le miel, le sirop d’érable ou simplement nature. Les maisons ont de l’animation.» L’intérêt est que le village se transforme au fil des saisons. Il devient cabane à sucre au printemps, zone hantée à l’automne et plus particulièrement à Halloween, quant à l’hiver, des chansons de Noël sont programmées, évidemment le Père Noël est présent et vingt-cinq mille lumières illuminent le site.

Parmi les nombreux hébergements de Drummondville, il y a le le Best Western Hotel Universel. En le choisissant, vous profiterez des possibilités de loisirs, notamment une piscine intérieure et un centre de remise en forme. Les caractéristiques supplémentaires de cet hôtel incluent l’accès gratuit à Internet sans fil, des services de mariage et une cheminée dans l’entrée. Les équipements et services proposés incluent un centre d’affaires, des journaux gratuits et un service de nettoyage à sec/blanchisserie. Cet hôtel dispose d’installations de trente mille pieds carrés (deux mille sept cent quatre-vingt sept mètres carrés). Le stationnement est en libre service. Faites comme chez vous dans l’une des cent dix-huit chambres. Équipées d’un lit en mousse à mémoire de forme. L’accès à Internet sans fil est gratuit et vous permet de rester connecté. Les télévisions sont programmées par satellite afin de vous divertir au mieux. Les salles de bain privées avec ensemble douche/baignoire sont dotées d’articles de toilette. Le restaurant Pacini y est associé avec ses deux cent cinquante places assises, vous pourrez savourez un bon repas, terminez votre journée avec un verre au bar/lounge et même déjeuner entre 6h30 à 10h30 moyennant un supplément.
www.bestwestern.com
https://pacini.com


Il est impossible de passer sous silence, le scénariste, réalisateur, dramaturge et écrivain de romans policiers à saveur fantastique
l’horreur à sa place : Patrick Senécal. Il a, notamment, planté le décor de 5150 rue des Ormes, écrit en 1994, adapté au cinéma en 2009, dans un des quartiers résidentiels. L’homme a enseigné un peu plus de dix ans la littérature, le cinéma et le théâtre au cégep de Drummondville. en 1995, il publie un autre roman à suspense : Le Passager. Au printemps 1997, le théâtre de La Licorne monte, à Montréal, sa première pièce, Les Aventures de l’inspecteur Hector. Son troisième livre, Sur le seuil (1998), inspire un long métrage réalisé par Éric Tessier, avec Michel Côté et Patrick Huard. « Tous ses livres parlent de sa ville natale. Je vous rassure l’adresse 5150, rue des Ormes n’existe pas, c’est une fiction ! Il y aura des morts décrit une course folle à travers Drummondville. Si vous avez lu ce livre et que vous venez nous voir, arrêtez au bureau, je vous donnerai une carte avec tous les emplacements. Le dernier en date, Flots, met en vedette un dépanneur et une école primaire du quartier du Golf, il nomme même les rues. Il met régulièrement la ville en valeur. C’est vraiment un très bon ambassadeur. »

www.patricksenecal.net

À mentionner le belvédère du chemin Boogie avec sa vue extraordinaire sur la rivière Saint-François et les bois qui l’entourent, l’aéroport, en fonction depuis soixante-dix ans, sans oublier les parcs. Le Woodyatt, avec ses jeux d’eau et sa piscine, endroit idéal pour pique-niquer, passer du bon temps, le Sainte-Thérèse, lieu propice à la balade en kayak ou sur planche à pagaie, les Voltigeurs, vous pouvez pratiquer le disc-golf, plus connu sous le nom de frisbee, le soccer et le sport cyclisme de haut niveau appelé bicross. Ils font tous partie du circuit riverain Parcs à Parcs.

Vingt-huit passeport-attraits sont en vigueur (rabais de vingt à quarante pour cent) jusqu’au 30 août.

Société de développement économique de Drummondville
1350, Berchmans-Michaud
Drummondville
(819) 477-5529
www.tourismedrummondville.com

Remerciements à Julie Verreault
conseillère au développement touristique
pour la Société de développement économique
de Drummondville (SDED).

Retrouvez les vidéos de cette escapade sur :
www.facebook.com/Sur-la-route-1727800047463188/

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